La vague
J'aime les vagues… pour les surfer notamment.
La vie est un peu comme le surf : savoir exploiter un élément qui se présente à nous et l’utiliser pour avancer, s’amuser, éprouver du plaisir, plutôt que le subir. La vie est faite d’opportunités à saisir, comme des vagues, le tout est d’être en éveil…
Mais la vague est aussi une image qu’on trouve dans les traditions hindouistes et bouddhistes :
elle est un peu notre représentation… la vague peut être fière de son individualité, elle est en effet unique, il n'y en a pas deux comme elle, de la même dimension, de la même hauteur, de la même forme, avec les même rides formées par l'eau à sa surface… elle peut se croire indépendante et différente des autres millions de vagues qui l’entourent. Elle est fière d'être une belle vague...
Mais nous qui la voyons du bateau ou du bord, nous savons bien que cette vague, même si elle est unique, n’est pas indépendante des autres, et toute unique qu’elle est, elle leur ressemble. Cette vague est indissociable de l'océan, elle constitue l'océan et l'océan la constitue.
Si nous cessons de nous accrocher à notre identité de vague, moins accrochés à notre égo, alors nous pourrons en faisant le calme intérieur, en respirant doucement, penser et ressentir que nous sommes l'océan. Alors on devient pleinement l'océan. Nous faisons partie d'un tout qui nous englobe et nous dépasse, charge à nous de changer de plan de conscience et de moins nous attacher à notre petit moi.
Ne restons pas à la surface mouvementée de la vague, grouillant d’idées, de pulsions, de désirs, d’émotions… mais respirons et enfonçons-nous dans l’eau calme intérieure, et regardons la surface agitée alors que nous sommes en paix en dessous. Regardons nos pensées avec détachement.
La vie est un peu comme le surf : savoir exploiter un élément qui se présente à nous et l’utiliser pour avancer, s’amuser, éprouver du plaisir, plutôt que le subir. La vie est faite d’opportunités à saisir, comme des vagues, le tout est d’être en éveil…
Mais la vague est aussi une image qu’on trouve dans les traditions hindouistes et bouddhistes :
elle est un peu notre représentation… la vague peut être fière de son individualité, elle est en effet unique, il n'y en a pas deux comme elle, de la même dimension, de la même hauteur, de la même forme, avec les même rides formées par l'eau à sa surface… elle peut se croire indépendante et différente des autres millions de vagues qui l’entourent. Elle est fière d'être une belle vague...
Mais nous qui la voyons du bateau ou du bord, nous savons bien que cette vague, même si elle est unique, n’est pas indépendante des autres, et toute unique qu’elle est, elle leur ressemble. Cette vague est indissociable de l'océan, elle constitue l'océan et l'océan la constitue.
Si nous cessons de nous accrocher à notre identité de vague, moins accrochés à notre égo, alors nous pourrons en faisant le calme intérieur, en respirant doucement, penser et ressentir que nous sommes l'océan. Alors on devient pleinement l'océan. Nous faisons partie d'un tout qui nous englobe et nous dépasse, charge à nous de changer de plan de conscience et de moins nous attacher à notre petit moi.
Ne restons pas à la surface mouvementée de la vague, grouillant d’idées, de pulsions, de désirs, d’émotions… mais respirons et enfonçons-nous dans l’eau calme intérieure, et regardons la surface agitée alors que nous sommes en paix en dessous. Regardons nos pensées avec détachement.
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